LEADERSHIP & MANAGEMENT
Les enseignements d'Edward Deming
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Ce reportage raconte la mise en oeuvre des enseignements d’Edward Deming chez Pontiac au coeur des années 60.
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Il y a dans ces enseignements absolument tous les ingrédients pour opérer aujourd’hui encore les transformations efficaces au sein des entreprises : le travail commence par les dirigeants (l’escalier se balaie par le haut), les chiffres ne sont pas la vision, le principe de subsidiarité, des collaborateurs satisfaits font des clients heureux, l’information doit circuler, le développement personnel est vital pour le succès de l’entreprise, améliorer les processus plutôt que les tâches, faire de ses fournisseurs de partenaires durables, privilégier le leadership sur le management,…
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Merci à Vincent D pour ce cadeau et la traduction !
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DÉVELOPPEMENT PERSONNEL
L’âme, cette mystérieuse part de nous-mêmes
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À quelle part de nous ce terme laïcisé renvoie-t-il ? Comment les scientifiques, psychanalystes et tout un chacun, la perçoivent-ils ?
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Pour celui-ci, elle se met à «vibrer» quand il écoute une cantate de Bach. Pour cette autre, c’est une lumière qui scintille dans les yeux de son amoureux. Pour l’autre encore, «quelque chose» qui se dégage de cette vieille commode qu’il aime tant… Dites le mot «âme» et vous en obtiendrez autant de perceptions qu’il y a d’individus.
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Si le terme, d’origine religieuse, a été évacué du vocabulaire français commun après la Révolution, il n’en a pourtant pas disparu dans sa forme laïcisée. Il connaît même une certaine vitalité. Dans les écrits de Freud, par exemple, il avait lentement été effacé des traductions françaises successives, et même été interdit d’emploi par le psychanalyste Jean Laplanche dans son glossaire de la traduction des Œuvres complètes du Viennois aux Presses universitaires de France (1989).
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SCIENCES &
IDÉES
Pour changer le monde, visez petit
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Par Philippe Silberzahn et Dominique Vian
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Il existe une propriété des systèmes complexes, la « quasi-décomposabilité », qui explique comment une action locale peut se propager et avoir un impact global.
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Une des croyances les plus tenaces du monde de l’entrepreneuriat est que pour faire de grandes choses, il faudrait viser « grand » d’entrée de jeu. C’est la raison pour laquelle on insiste autant sur la nécessité, avant d’engager un projet, d’avoir la représentation ambitieuse d’un état futur. Or, lorsqu’on regarde comment sont nées certaines des plus grandes entreprises, ce n’est pas ce qu’on constate. Au contraire, celles-ci débutent souvent avec des actions banales, d’ambition très limitée, mais dont les effets s’accumulent au cours du temps. Autrement dit, pour faire de grandes choses, il semble que l’on puisse viser petit, c’est à dire agir localement, sans nécessairement avoir une ambition ultime globale.
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