Ni Dieu, ni maître, ni certification !

Dans un article très intéressant, Denis Cristol de THOT CURSUS considère que « les métiers de formation sont des métiers de vitalisation et ne sauraient être si fortement référencés que la tendance actuelle le souhaite. »

Je donne ici quelques éléments de cet article :

L’auteur met en avant 6 arguments qui, selon lui, « plaident pour l’évitement de référentiels en matière de formation » :

  • Argument 1 : La qualité certifiée n’est pas la qualité
  • Argument 2 : Les modèles basés sur la compétence s’appuient sur des notions floues. On trouve des milliers de définitions. Qui décide de la référence ? 
  • Argument 3 : Les référentiels n’ont jamais évité les tricheurs
  • Argument 4 : Les référentiels évitent l’essentiel de la vie
  • Argument 5 : Pourquoi la formation professionnelle plutôt qu’un autre secteur d’activité ?

Denis Cristol propose d’orienter plutôt les efforts vers « la posture et l’intention des personnes-ressources et des personnes-projets qui se rencontrent. » et de mettre l’énergie  « par exemple vers des finalités sociales élevées comme la possibilité de se grandir voire de s’émanciper par la construction de sa propre direction ».
Et d’ajouter que « ce sont les effets induits du rapport au savoir qui se développe dans l’apprendre ensemble. »

Je partage ce point de vue de Denis Cristol pour la formation… et pour le coaching bien sur !

L’article est à lire dans son intégralité ici sur le site de THOT CURSUS

Rechercher

Suggestions