À quinze ans, Éric-Emmanuel Schmitt est dépressif et songe à se suicider. C’est à ce moment qu’il entend par hasard les répétitions des Noces de Figaro, il reprend le goût à la vie. À travers les lettres qu’il écrit à Mozart, il renaît et explique ces petits plaisirs de la vie qu’il ne voyait pas quand il avait quinze ans. Ainsi, à chaque étape de sa vie, à chaque moment difficile, il demande conseil au musicien prodige qu’il considère comme l’un des plus grands artistes de tous les temps. À chaque fois, Mozart lui apportera réponse ou réconfort, ce qui ne fera que décupler l’admiration que l’auteur lui porte. Ce long dialogue permet donc à Schmitt de s’interroger, d’être rassuré, de repenser le monde, et finalement, d’y vivre mieux.

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Sur le terrain sportif, les victoires individuelles sont bien souvent le fruit d’efforts collectifs. De quoi inspirer l’entreprise, qui pourrait aussi mettre à profit le