À quinze ans, Éric-Emmanuel Schmitt est dépressif et songe à se suicider. C’est à ce moment qu’il entend par hasard les répétitions des Noces de Figaro, il reprend le goût à la vie. À travers les lettres qu’il écrit à Mozart, il renaît et explique ces petits plaisirs de la vie qu’il ne voyait pas quand il avait quinze ans. Ainsi, à chaque étape de sa vie, à chaque moment difficile, il demande conseil au musicien prodige qu’il considère comme l’un des plus grands artistes de tous les temps. À chaque fois, Mozart lui apportera réponse ou réconfort, ce qui ne fera que décupler l’admiration que l’auteur lui porte. Ce long dialogue permet donc à Schmitt de s’interroger, d’être rassuré, de repenser le monde, et finalement, d’y vivre mieux.

L’intention positive par Robert Dilts
Apporter de la lumière dans les ténèbres, ou le principe de l’intention positive L’un des principes les plus importants mais souvent mal compris (et donc


